Skip to content
Arthur Rimbaud

Suite Bohème

Une maison lumineuse, spacieuse et chaleureuse

Une maison pour 6 personnes, la suite Ma Bohème est située à 1,4 kilomètres de la Place Ducale et à seulement 300 mètres de toutes commodités (boulangerie, supermarché, pharmacie…).
Elle est équipée de meubles design et dispose de tout le confort moderne.

  • La suite Ma Bohème dispose d’internet haut débit avec wifi.
  • Une histoire atypique : ancienne maison de la Française des Jeux.
  • Le linge de maison est fourni: serviettes, draps, housses de couette.
  • Les lits sont faits pour votre plus grand confort.
  • Une grande pièce blindée intérieure permet de garder vos vélos en toute sécurité.
à partir de
95 €

Les avis
sur la suite

Équipements

Cuisine

four,
plaques induction,
hotte,
frigo américain avec congélateur,
lave-vaisselle,
grille-pains,
machine Nespresso,
bouilloire,
robot cuisine

Salle de bains

vasque,
baignoire,
lave-linge,
sèche-linge,
douche

Salon / Séjour

chaises,
table à manger pour 6 personnes,
canapé,
fauteuil,
TV écran plat

Internet

Une connexion Wi-Fi est disponible dans tout l’appartement gratuitement
RS
Patrimoine

À propos de
Rimbaud

Patrimoine
Arthur Rimbaud, Cahier de Douai (1870)

Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ;
Mon paletot aussi devenait idéal ;
J'allais sous le ciel, Muse, et j'étais ton féal ;
Oh ! là là ! que d'amours splendides j'ai rêvées !

Mon unique culotte avait un large trou.
Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou

Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;

Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon cœur !

Patrimoine
Arthur Rimbaud, Cahier de Douai (1870)

Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ;
Mon paletot aussi devenait idéal ;
J'allais sous le ciel, Muse, et j'étais ton féal ;
Oh ! là là ! que d'amours splendides j'ai rêvées !

Mon unique culotte avait un large trou.
Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou

Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;

Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon cœur !

Réservez la
Suite Bohème