Suite Aube
- 4 personnes
- 2 chambre(s)
- 60 m²
Appartement avec jardin situé à proximité du centre-ville de Charleville-Mézières.
La Villa Bari-barou et la Suite Aube font parties d’une seule et même maison située rue d’Étion, à proximité du centre-ville de Charleville-Mézières.
La Suite Aube peut accueillir jusqu’à 4 personnes : elle bénéficie d’une chambre avec un lit double et d’une autre chambre avec deux lits doubles.
Vous avez la possibilité de louer l’entièreté de la maison ou bien simplement une des deux parties, elles sont idéales pour un séjour en famille ou entre amis. La Suite Aube est entièrement équipée en électroménager : lave-linge, sèche-linge, télévision avec lecteur Blu-ray ainsi qu’une connexion à internet.
- La Suite Aube dispose d’une connexion internet.
- Le linge de maison est fourni : serviettes, draps, housses de couette.
- Les lits sont faits pour votre plus grand confort.
- Un lit bébé est disponible.
Les avis
sur la suite
Équipements
Chambres
Services
Vidéo
Équipements
Cuisine
four,
grille-pains,
Équipements de cuisine de base,
Vaisselle et couverts,
Congélateur,
Bouilloire électrique,
Four à micro-ondes,
Réfrigérateur,
Plaques de cuisson,
Cafetière,
Lave-vaiselle
grille-pains,
Équipements de cuisine de base,
Vaisselle et couverts,
Congélateur,
Bouilloire électrique,
Four à micro-ondes,
Réfrigérateur,
Plaques de cuisson,
Cafetière,
Lave-vaiselle
Salle de bains
sèche-serviettes,
douche,
Eau chaude
douche,
Eau chaude
Salon / Séjour
chaises,
canapé,
Table à manger,
Télévision
canapé,
Table à manger,
Télévision
Internet
Une connexion Wi-Fi est disponible dans toute la maison gratuitement.
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RS
Patrimoine
À propos de
Arthur Rimbaud
J’ai embrassé l’aube d’été.
Rien ne bougeait encore au front des palais. L’eau était morte. Les camps d’ombres ne quittaient pas la route
du bois. J’ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes
se levèrent sans bruit.
La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom.
Je ris au wasserfall blond qui s’échevela à travers les sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse.
Alors je levai un à un les voiles. Dans l’allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l’ai dénoncée au coq.
A la grand’ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre,
je la chassais.
En haut de la route, près d’un bois de lauriers, je l’ai entourée avec ses voiles amassés, et j’ai senti un peu
son immense corps. L’aube et l’enfant tombèrent au bas du bois.
Au réveil il était midi.
Arthur Rimbaud, Illuminations